Nos lecteurs se rappellent l’arrêté par lequel le gouverneur a cru devoir défendre la upaupa (Messager de Tahiti du 13 mars 1853), danse toujours accompagnée et suivie d’excès regrettables. La ronde que nous publions aujourd’hui en donnera l’idée, bien affaiblie toutefois par la décence du langage.
LA HOUPAHOUPAH. (Ute no te upaupa).
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