On connaît mieux à Tahiti les écrivains maoris contemporains comme Patricia Grace, Alan Duff ou Witi Ihimaera, grâce aux traductions effectuées par les éditeurs comme Actes Sud ou Au Vent des îles, que les écrivains pakeha (d’origine européenne) tels que Fiona Kidman dont la renommée est pourtant bien établie[1]. Elle est l’auteur, depuis une quarantaine…
En écrivant le roman Albert Black, Fiona Kidman rappelle un tragique fait divers datant de 1955, et dénonce un procès inéquitable comme une politique xénophobe du gouvernement néo-zélandais ayant, à l’époque, rétabli la peine de mort …
La suite est réservée aux abonnés.
Accédez à tous les contenus de Pacific Pirates Média.
Soutenez une presse indépendante en Polynésie française, sans lien avec aucun actionnaire.
S’abonner