Retour
Réservé aux abonnés

Le droit des malades n’est pas quelque chose de récent (loi du 4 mars 2002 notamment), et pourtant… il semble encore méconnu par un trop grand nombre de personnes.

Je me souviens de l’avoir étudié pour le concours de la première année en « sciences humaines et sociales », mais peu de patients sont au courant de leurs droits, et certains de mes confrères semblent parfois avoir oublié certains principes après la première année… Je m’attarderai ici sur trois points clés qui ne me semblent pas assez respectés en Polynésie, et dont les principes sont pourtant fondamentaux : le secret médical, le dossier médical, mais aussi l’information claire, loyale et appropriée.

image_pdfPDFimage_printImprimer

3 réflexions au sujet de “<strong>Droit des malades, parlons-en !</strong>”

  1. Merci pour cet article et ce rappel des fondamentaux du droit patient.

    Pour information nous visons dans le cadre du Schéma d’organisation sanitaire 2022-2027 à déployer mon espace santé en Polynésie française également afin de remettre le patient au cœur de sa santé, mettre de ses données de santé, et simplifier sa prise en charge par les acteurs de la santé du Fenua.

    Je serai ravi de vous eclairer plus sur ce projet.

    Romain F.
    Direction de la Santé

  2. L’omnipotence de la CPS arbitraire et partiale en amont sans respect humain ni déontologie du contrôle médical provoque des situations d’une totale incohérence avec la description faite
    Pour mémoire l article sur les mésaventures de Roni paru dans tahiti PACIFIC à l époque !
    Combien de malades réels sont refoulés par la CPS ,plus que jamais ces derniers mois mais sans motif médical cohérent
    Le contrôle médical CPS semble plutôt contrôler les dépenses jusqu’à s opposer négligemment aux attestations et avis de médecins hospitaliers expérimentés et plus spécialises en métropole lesquels ne naviguent pas sur internet pour découvrir une pathologie !
    Conséquences de cet abus de pouvoir , de nombreux assurés se retrouvent dans la déchéance morale et sanitaire car leur seul crime est d être malade Quand la CPS discoure sur son rôle social et sanitaire fondamental justifié par des charges sociales versées et sa volonté d être un service public efficace et équitable … je préfère en rire !

Laisser un commentaire

Partage