Ma première rencontre avec l’idole des jeunes, remonte à environ 1964, en Eure-et-Loir, à Conches. Là, coaché par Jean Pons, le chanteur belge devenu plus que français, malgré son nom de scène américain emprunté à ses cousins Desta et Lee Hallyday, offrait déjà une prestation plus que de qualité. Et cela pourtant encore au début d’une carrière qui sera époustouflante, on peut le dire, vérifications faites depuis toutes ces 57 années de succès ininterrompues.

Sur scène, le chanteur accroche déjà son public, se démène, électrise la salle et fascine son public, malgré sa jeunesse et ses 21 ans, impressions d’époque. Une autre fois, au Palais des Sports de Paris, encore, j’étais allé voir chanter mon idole, je vous l’ai déjà, dit, oui, mon « idole », le mot de l’époque. Et comme d’habitude, quand Johnny chantait, il obtenait un très grand succès. Le groupe Les Variations, aujourd’hui disparu, avait fait la première partie ; ces garçons n’ont certainement pas oublié ces shows des années 1960 …
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